tristan au choix everdeen

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LIKE A WIZARD nothing left to say≈ 001. Né dans une famille de sang-pur, Tristan a toutefois été élevé avec sa soeur aînée dans l'optique de toujours respecter les individus. La tolérance est sûrement le maître-mot qui fait avancer les membres de la famille Everdeen. ≈ 002. Le jeune homme a eu la chance de ne jamais douter de son avenir ; très tôt, il a commencé à écrire des textes qu'il montrait régulièrement à la demoiselle qu'il fréquentait et qui, après Poudlard, devint sa femme ainsi que la mère de sa fille.  Tristan se savait confiant et doté d'une allégresse qui faisait souvent pâlir d'envie. Il n'était pas de ceux qui grinçaient des dents pour un rien, et c'était bien ce qui faisait son charme. ≈ 003. Après voir quitté Poudlard, Tristan a travaillé pour la Gazette du Sorcier mais les sujets légers qu'il écrivait ne correspondaient en rien à son état d'esprit - ou même au malheur qui se diffusait dans le monde. Quatre ans après avoir intégré cette entreprise, il la quitta et se dédia corps et âme au travail d'écrivain indépendant. Dès lors, il rédigea également quelques pamphlets à l'encontre du Mage Noir, se pensant hors d'atteinte grâce au pseudonyme qu'il employait. ≈ 004. En 1977, sa couverture a finalement sauté ; les mangemorts remontèrent à la source des textes assassins et, en guise de vengeance, s'en prirent à plusieurs Everdeen. Les parents de Tristan moururent, ainsi que sa femme et sa fille. Son neveu, qui était également présent ce jour-là, fut assassiné au même titre que ses pairs.  Son beau-frère Reysen tua alors l'homme qu'il jugeait responsable de ces meurtres abominables mais fut alors envoyé à Azkaban car rien ne prouvait que ce sorcier était un mangemort. ≈ 005. Meurtri par ces pertes, il a brusquement pris une direction qui lui était jusqu'alors totalement inconnue. Conservant son statut d'écrivain indépendant mais en manque d'inspiration pour justifier les mois de vide qui s'annonçaient, Tristan devint détective. Son travail officieux lui prend désormais beaucoup de temps, mais il est dédié corps et âme à cette cause. ≈ 006. Fin août 1983, après des années de dure labeur, Tristan a finalement apporté les preuves qui manquaient au Tribunal de Justice Magique pour faire libérer Reysen, prouvant ainsi que le sorcier que ce dernier a assassiné était bien un mangemort. Pourtant, cela n'efface en rien la culpabilité bouleversante que ressent Tristan face à ces meurtres. ≈ 007. Rongé par une colère sourde, le jeune homme n'est plus que l'ombre de ce qu'il était autrefois ; oh, il est charmant - vraiment charmant - et sait jouer de ses atouts, même si ces derniers deviennent de plus en plus souvent ternis par l'alcool qu'il ingurgite quotidiennement. Il boit pour oublier. De fait, sa voix est moins suave et ses sourires moins enthousiastes. ≈ 008. Son travail de détective fonctionne surtout par bouche à oreille puisqu'il ne peut pas se permettre de s'afficher aussi ouvertement, surtout avec les temps sombres qui semblent revenir. La mort d'Harry Potter, qui a eu lieu en septembre 1983, lui a fichu un coup au moral - il essaie d'appréhender les choses avec la désinvolture qui le caractérisait si bien quelques années auparavant, mais force est de constater que cette époque-là est révolue. De fait, il s'accroche plus que de raison aux personnes qu'il doit retrouver - en se plongeant dans le travail, il maintient la peur à bonne distance. ≈ 009. Il entretient encore de bonnes relations avec sa sœur – même s'il lui répète inlassablement qu'elle aurait dû rester avec Reysen, ce qui a le don de la mettre dans une rage folle – et ses enfants. Il a pris soin d'eux comme un second père durant le laps de temps où son beau-frère était à Azkaban et sa sœur encore seule. Depuis qu'elle fréquente un autre homme, Tristan s'est effacé mais pense qu'il a encore son mot à dire à propos de ses neveux puisqu'il a participé à leur éducation durant, certes, un court moment. ≈ 010. Depuis la mort d'Harry Potter, il est tenté de reprendre ses écrits incisifs, ceux qui lui ont valu la mort prématurée d'une partie de sa famille. Il lui faut beaucoup de contrôle pour ne pas replonger mais l'envie d'écrire le démange ; il n'a toutefois pas envie de décimer davantage les Everdeen.

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La jeune femme leva la main, prête à l'abattre sur la joue de son cadet. Tristan arqua un sourcil désabusé, croisa ses bras sur son torse et haussa les épaules. « Et bien ? » Poussant un rugissement excédé, Ysilla serra le poing et faillit le mordre – personne ne pouvait la mettre dans des états pareils, personne. Hormis son frère. La jeune femme esquissa un pas en arrière et glissa ses paumes dans les poches de son pantalon, craignant de lui faire la peau s'il continuait sur cette lancée. Si elle avait renoncé à la violence physique, sa voix vibrait d'une indignation mortelle. « Arrête de parler de Reysen devant les enfants, ils n'ont pas besoin de - » elle déglutit « ils n'ont pas besoin de savoir ce qu'il a vécu. » Tristan secoua la tête, visiblement atterré par sa réaction qui ne valait pas deux mornilles. Plus chiant qu'un petit frère, tu meurs – cette pensée amère traversa l'esprit d'Ysilla. « Tu penses qu'ils n'en ont aucune idée ? » Le brun se passa la main sur la joue et se tapota les lèvres. Son regard sombre exprimait une profonde incompréhension. « Ysilla, tes enfants ne sont pas sots et ils sont suffisamment grands pour... comprendre certaines choses. » La jeune femme se mordit l'intérieur de la joue, piquée au vif. Puis elle reprit la parole, parlant distinctement comme si cela allait lui permettre de se faire mieux comprendre – mais la tournure de ses phrases prit une teinte désagréable, presque accusatrice. « Oh, arrête, je sais que tu continues à le voir, mais ne les oblige pas à faire de même. » Tristan haussa les épaules. « Je ne les oblige à rien, Ysy. » La discussion était close.

Ysilla et Tristan – le feu et la glace. Ils ont toujours été différents mais complémentaires. Lorsque les écrits assassins de Tristan furent découverts par les mangemorts et lorsque ces derniers remontèrent jusqu'à la famille Everdeen, Ysilla ne jugea pas son cadet responsable de ces meurtres. A ses yeux, il avait fait ce qui lui semblait juste, comme tant de grands hommes avant lui. Le mangemort que Reysen avait assassiné était le seul responsable de ces actes odieux. Lorsque l'époux d'Ysilla fut envoyé à Azkaban et tandis que Tristan travaillait afin de le sortir de là, il en oublia presque l'humanité de sa sœur – il ne comprit pas les raisons qui la poussèrent à se séparer de son mari, et n'hésite pas de nombreuses fois à l'incendier, allant même jusqu'à la traiter de traîtresse. Mais toujours il revenait vers elle, pourtant conscient de chaque mot qu'il avait prononcé, car il tenait désormais aux liens du sang plus qu'il ne voulait bien l'admettre. Sa sœur et ses neveux étaient ce qui lui restait de bon, et il n'était pas encore décidé à les abandonner. En revanche, depuis la sortie de Reysen d'Azkaban en septembre 1983, Tristan parle de plus en plus fréquemment de lui à sa sœur, ce qui a le don de l'insupporter et de la faire entrer dans une colère noire. Ils ne s'entendent plus, c'est un fait, puisque Tristan prend clairement position en l'honneur de son beau-frère. (plus d'infos sur le perso)


Reysen est le beau-frère de Tristan depuis qu'il a épousé Ysilla. Les deux hommes se sont toujours très bien entendus. Tristan est pourtant celui qui est plus ou moins à l'origine de la mort du fils de Reysen, ce même jour où il a lui-même perdu sa femme et son fils, pourtant, Reysen ne l'a jamais accusé d'être la cause de se massacre. Lui-même auror, il aurait pu, de la même façon, se mettre à dos des personnes désirant se venger de lui. L'emprisonnement de Reysen à Azkaban n'a en rien plu au jeune homme, lui il savait que son beau-frère était innocent, qu'il n'avait fait que ce qui était juste en éliminant celui qui leur avait pris leurs enfants, mais la justice n'a pas voulu entendre raison, on disait cet homme innocent et Reysen coupable d'un crime injustifié. Ce n'était pourtant que justice et en tant de guerre, son rôle en tant qu'auror, d'éliminer un mangemort. Depuis que son beau-frère a été enfermé, Tristan s'est juré de trouver un moyen de lui venir en aide. C'est lui qui a récemment fait rouvrir le procès, ayant trouvé suffisamment de preuve pour montrer que l'homme qu'il avait tué était bel et bien un mangemort et qu'en ces temps de guerre, tuer un mangemort n'était pas un crime. Reysen a donc été libéré grâce à Tristan et s'il n'est pas retourné vers ses enfants et sa femme, il a trouvé en Tristan le soutien dont il avait besoin. Il lui semble bien que son beau-frère ait tendance à se ranger de son côté en toute circonstance, même quand il s'agit d'Ysilla. Une bonne entente et une confiance règne entre les deux hommes, si bien que Reysen n'a pas hésité à conseiller à Gemma de faire appel à lui pour retrouver sa soeur, il sait qu'il pourra l'aider.(plus d'infos sur le perso)


Tristan est l'oncle de Lorcas, la famille a toujours été particulièrement soudée, Lorcas a toujours été très proche de son oncle. Leur lien est devenu d'autant plus fort après cette nuit où Lorcas a vu ses grands-parents et son frère cadet se faire assassiner. Cette même nuit, l'épouse et la fille de Tristan ont aussi perdu la vie. Une épreuve difficile pour tout le monde, mais Tristan n'avait guère envie de laisser tomber ses neveux, malgré la douleur à laquelle il était confronté. Soutenant le père de Lorcas de la même façon que le faisait le jeune adolescent, tous les deux, ils ont su se soutenir et s'entraider. Peu à peu, Lorcas s'éloignait de sa sœur jumelle, de sa mère et se rapprochait de son oncle. Si Lorcas n'a jamais oublié son père, c'est auprès de Tristan qu'il est allé cherché un support paternel pendant toutes ces années ; il avait besoin d'un repère masculin et il l'a trouvé en la personne de Tristan. Son oncle lui a toujours dit qu'il trouverait un moyen pour faire sortir son père de prison et le jeune homme a souvent aidé le détective à poursuivre son enquête. Aujourd'hui encore, Tristan reste une oreille attentive pour Lorcas, il tente de lui donner des conseils, de le soutenir dans ses choix, comme l'aurait fait un père, sans doute comme il l'aurait fait avec sa fille si elle était encore en vie aujourd'hui. (plus d'infos sur le perso)


Une petite fugueuse qui se joue de Tristan Everdeen. Rose l'a repéré dès qu'elle a franchi le seuil de la librairie Granny's Secret, sous polynectar et se présentant sous le nom de Lucy Simmons, et depuis elle ne le lâche plus. Il attise son intérêt et elle est curieuse de voir s'il parviendra un jour à la retrouver – elle se sait odieuse en jouant ainsi avec la fragilité de sa sœur, en mettant Tristan sur de mauvaises pistes, mais elle tient à vérifier s'il sait de quoi il parle en se prétendant détective. De cette Lucy Simmons, Tristan n'en a cure et il lui accorde à peine un regard lorsqu'il la croise dans la librairie, essayant malgré lui d'ignorer les coups d’œil appuyés qu'elle lui jette. Et s'il savait que derrière ce visage candide et cette cascade de cheveux blonds se cache en réalité la gamine qu'il est supposé retrouver, sans doute qu'il en perdrait la raison. En somme, Rose se demande si cet homme est vraiment ce qu'il semble être et, le fait qu'il la cherche, la pousse à observer davantage la relation qu'il entretient avec sa sœur. Elle est la cadette de Gemma, une enfant disparue, mais continue à la surveiller – elle, ainsi que le détective qui traîne toujours dans les parages et qui risque à tout moment de fissurer sa couverture. Mais elle s'en fiche, le pouvoir du jeu l'anime presque autant que le fait d'avoir pris sa vie en mains. (plus d'infos sur le perso)

bien l'bonjour, bien l'bonsoir.

☆ pseudo & avatar ; le pseudo n'est pas négociable, puisque je parle de ce personnage allègrement tout le long de ma fiche. Toutefois, si le prénom choisi vous donne des boutons, n'hésitez pas à vous inscrire sous T. Machin Everdeen. Maintenant la question qui fâche   j'ai choisi Aidan Turner parce que j'aime beaucoup ce qu'il dégage, il a beaucoup de charme - bref, j'ai essayé de matcher du mieux possible cet acteur au rôle que je lui file sur PF. Toutefois, l'avatar est négociable, parce que même si Aidan convient parfaitement au rôle de Tristan, peut-être que vous avez trouvé mieux - donc qui suiiiis-je pour détruire votre imagination ? Toutefois, je préfère vous prévenir tout de suite : je ne supporte pas les mannequins. Donc no way, même pas la peine d'essayer, ARRIEEEERE.  

☆ les informations ; je tiens vraiment au personnage que j'ai décrit ci-dessus et à toutes ses caractéristiques. Mais ne vous limitez pas à ça, vraiment, donnez-lui une âme, des faiblesses, des forces, quelque chose qui l'anime et qui fait d'elle votre personnage et non pas mon ébauche. A savoir que j'apprécie vraiment lorsque la personne qui prend mon scénario y ajoute sa touche personnelle sans le dénaturer. J'y tiens beaucoup sincèrement parce que ça signifie que le perso est totalement assimilé et compris. 

☆ les liens ; Tristan a beaucoup de liens, certains sont en scénarios et d'autres sont joués (les liens des scénarios ont d'ailleurs été ajoutés pour vous faciliter un peu la vie). L'évolution de ces liens sont à voir avec les principaux intéressés mais, je parle au nom de Gemma (du coup, hein), j'ai envie de jouer sur l'attirance de Gemma à l'égard de Tristan, qui est réciproque mais aussi sur la répulsion - du fait de la culpabilité du détective - du jeune homme à son encontre. Tristan représente à ses yeux le seul espoir qu'elle a de retrouver un jour sa petite soeur saine et sauve, alors elle s'y accroche farouchement     

☆ l'évolution du perso ; je vous laisse décider de l'avenir de mon bébé Tristan, tant que vous respectez fondamentalement les grandes lignes de son caractère, tout me va (évidemment, vous pourrez le modifier sensiblement en cours de jeu, rien n'est fixé dans le marbre et surtout pas l'être humain   ) Si vous avez la moindre question à ce propos, mpottez-moi pour qu'on en parle.

☆ les exigences de la muerte ; alors, je ne veux pas d'une personne qui se prenne la tête h24 : on est sur un forum RPG pour s'amuser et pas pour râler après tout ce qui est fait ou reste à faire. De plus, ça paraît un peu superficiel mais j'ai tendance à adorer les personnes qui utilisent beaucoup de smileys (parce que j'en utilise tout le temps, huhuhuhu) (et si j'en utilise pas, ça veut dire que je me vernis les ongles, pas que je suis fâchée ). Bref, j'aimerais une personne motivée à faire évoluer le personnage, à lui donner une profondeur, des sentiments - bref, à l'exploiter jusqu'à plus soif. En ce qui concerne le rp en lui-même, je fais généralement entre 1000 et 1500 mots, mais le minimum syndical demandé par le forum me convient parfaitement - franchement, paaas de prise de tête à ce propos, je suis open.   En ce qui concerne les réponses aux rps, hm, j'aime bien lorsque l'action avance rapidement sinon je perds un peu le fil et je mets également du temps à me remettre dans le bain. Aussi, ne vous limitez pas aux relations proposées ci-dessus, alors allez-y gaiement et rpgisez avec tout le monde.  Intégrez-vos aussi au forum et, en cas de question ou si vous avez simplement envie de discuter, mpottez-moi (j'aime bien papoter )

Merci d'avoir lu mon message sponsorisé par chiantos ("les p'tits bonbons naiiiins"), j'espère vous retrouver sur le forum avec ou sans Rose ("les p'tits bonbons naiiiiiins") - mais surtout avec des idées du tonnerre ("chiantos chiantos, les p'tits bonbons nains, pour faire chier ton monde du soir au matiiiiin")